Les études menées auprès des consommateurs européens en 2002 par le Réseau de Consommateurs Responsables montrent que par rapport à 75% des consommateurs européens qui déclarent être prêts à modifier leur choix de consommation en fonction de critères sociaux et écologiques, il n’y a que 3% parmi eux passent réellement de la pensée à l’acte et mettent donc en pratique une consommation durable. Plusieurs explications psychologiques clarifient ce décalage : le sentiment de ne pas être responsable, le sentiment d’impuissance ou encore le conflit entre les motivations éthiques et les intérêts personnels. Très conscients des crises sociales et environnementales, certaines personnes ne se sentent pas pour autant responsables et acceptent difficilement un changement de leurs habitudes. D’autres se sentent impuissants à faire changer les choses et ne perçoivent pas le lien entre leurs actions quotidiennes et les problèmes macro-économiques. L’efficacité perçue de l’action individuelle étant faible, ces dernières considèrent que leurs actes sont insuffisants pour avoir quelque influence que ce soit sur des questions telles que l’amélioration des conditions de travail dans les pays en développement ou la protection des ressources naturelles.
Nous vous proposons des "extraits de contenus" qui présentent des informations importantes à connaître pour accompagner votre changement. Ils sont classés en trois thématiques. Ces "références" sont extraites de sites reconnus (pouvoirs publics, organisations internationales, associations…).
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