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Nos convictions
VitalBonus fait 2 constats sur notre société d’aujourd’hui :
- Notre cadre social ne contribue pas au bien-être de tous. Notre société de consommation ne permet pas à certains dans le monde, même en travaillant, de couvrir dignement leurs besoins vitaux (eau potable, nourriture suffisante, logement décent…). Et pour d’autres, plus favorisés, elle engendre la frustration de ne pas pouvoir répondre aux nombreuses sollicitations commerciales.
- Notre environnement se détériore (pollution de l’air et de l’eau, changement climatique…). La consommation de matière et d’énergie sans limite (alors que la nature a ses propres limites pour se régénérer) joue un rôle important dans cette situation. Cela contribue, par exemple, avec la pollution de l’air, au développement de maladies respiratoires chez les enfants.
Ces deux constats montrent combien il est important de savoir « vivre ensemble » dans un « monde fini ».
Les possibilités d’action :
Nous pensons qu’un mode de "consommation durable" peut contribuer au progrès humain (en complément des actions menées par les pouvoirs publics, les collectivités, les entreprises, les associations…). Pour nous, la "consommation durable" vient en complément de la consommation citoyenne qui consiste à consommer en respectant des règles légales de bon sens. Par exemple, l’achat de produits dont l’origine est douteuse (contrefaçon, produits volés, sans respect de normes de sécurité…) encourage les trafics (avec des impacts sociaux et environnementaux négatifs). Une consommation durable, permet de satisfaire nos besoins vitaux tout en nous préoccupant de l'impact de nos choix sur le monde qui nous entoure.
Nous estimons que nous avons tous un champ d’action qui ne dépend que de nous et qui peut être un levier important du progrès social et environnemental.
Notre constatons que beaucoup d’entre nous souhaitent changer leur mode de consommation pour le rendre plus durable mais ils ont du mal à y arriver seul. Nous sommes par exemple imprégnés des modes de fonctionnement hérités de nos parents ou encore influencés par les publicités.
Pour faire évoluer nos comportements nous devons retrouver des repères. Cela passe notamment par une prise de conscience de ce qui est « vital » pour répondre à nos besoins (eau potable, alimentation de qualité, bon relationnel avec les autres…). Nous sommes convaincus que chacune et chacun d’entre nous est capable de développer son sens critique et ses connaissances de la société de consommation. Cela nous semble un préambule important au changement.
Les besoins d’accompagnement :
Nous estimons qu’une évaluation de départ est nécessaire pour débuter tout changement. Cela doit être suivi du choix et de la mise en place d’objectifs progressifs. Chacun doit aller à son rythme. Le plus important est de prendre conscience des enjeux et d’être acteur de ses changements. Nous sommes par ailleurs partisans d’un changement de mode de consommation pratiqué dans le respect (notamment de son entourage qui peut avoir des sensibilités différentes), l’ouverture et le partage avec les autres.
Nous pensons que l’obtention immédiate et durable d’avantages personnels (bonus) alimente la motivation. Ces bonus sont de différents ordres : économique, sanitaire, culturelle… Cette motivation peut être stimulée par le partage de ses actions avec d’autres. Cela permet de se sentir acteur d’une dynamique de groupe. Nous prévoyons que, pour certaines et certains des acteurs du changement, il est important de pouvoir laisser des témoignages de leurs actions. Et ce, pour montrer à la prochaine génération (qui risque d’être impactée négativement par la consommation irraisonnée actuelle) qu’il était possible de changer.
Innovation et consensus :
Nous sommes aussi favorables à la recherche d’innovations et de nouveaux modèles de consommation. Le développement des services d’aides à la personne en est une bonne illustration. Ces évolutions doivent se faire avec réalisme en conservant ce qui est positif dans notre système de consommation existant. C’est par exemple le cas de notre capacité à nous prémunir de l’impact des aléas climatiques sur notre production alimentaire en développant la polyculture.
Enfin, notre modèle de consommation durable n’a pas la prétention d’être parfait. Il se construit souvent sur des consensus acceptables pour le plus grand nombre. Il va aussi s’enrichir avec la complicité de ses utilisateurs.