Bien se nourrir tout en restant en bonne santé, en respectant les hommes et la planète, tout en éprouvant le plaisir de manger est un véritable défi au quotidien. Pour y parvenir, le consommateur doit être conscient des conséquences environnementales et sociales de ses achats alimentaires de tous les jours.
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Prévention des maladies : Alimentation
Alimentation durable
Source/Copyright: DOLCETA site d’éducation en ligne à la consommation de la Commission européenne.
Effets de l’alimentation
L’effet le plus notable de l’alimentation sur le corps est la corpulence, mais il n’est pas le seul. Le corps tire l’énergie des aliments pour assurer sa production d’énergie (catabolisme) et se sert des molécules ingérées pour réparer et remplacer les inévitables dommages qu’il subit (anabolisme). Capable de synthétiser certains éléments, il est en revanche dépendant de l’apport extérieur de certains composants (acides aminés essentiels, vitamines, minéraux, oligo-éléments). Si ces composants viennent à manquer, il va d’abord puiser dans ses propres ressources (les os s’il a besoin de calcium) puis arrêtera la fabrication des « pièces », altérant les fonctions du corps si les carences persistent. Par réaction, un organisme carencé va déclencher la sensation de faim dans l’espoir que la nourriture ingérée lui apportera l’élément manquant, sinon l’insatiété persistera malgré l’apport calorique (on parle dans ce cas de calories vides). Dans notre société actuelle, la nourriture est devenue calorique mais pauvre en ces éléments indispensables. D’autres aliments vont accentuer les carences en perquisitionnant, pour leur assimilation, les minéraux de notre corps. C’est le cas de nombreux aliments industriels sucrés et/ou acides.
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Alimentation et maladies
Nous ingérons aussi des éléments néfastes : pesticides, nitrates, hormones, conservateurs, métaux lourds... Ces molécules interagissent dans les réactions biochimiques, perturbant notre métabolisme. Ils sont en cause dans l’apparition de cancer, de maladie dégénérative et d’intoxication.
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Aliments standardisés
Les consommateurs sont aujourd’hui habitués à des aliments très standardisés, qu’il s’agisse de produits industriels élaborés dans des usines agro-alimentaires que de fruits, légumes ou … poulets. Les produits se vendent mieux si leur aspect est impeccable. Pourtant la couleur unie d’une aubergine, par exemple, n’est pas un signe de qualité, c’est parfois même le contraire.
Aux dires des experts, ce que nous avons gagné en esthétique est perdu en saveur.
Le spectre des variétés s’est aussi considérablement rétréci pour faire place à des « standards », telles la « golden » pour les pommes, dont une vingtaine de variétés sont commercialisées alors qu’il existe des milliers de variétés de ce fruit.
Le consommateur doit réapprendre à se fier au goût des produits qu’il achète et non plus les juger à leur simple aspect.
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Développement de l’obésité
Actuellement 20 % des enfants sont en surpoids et parmi ceux-ci, plus d’un sur trois est obèse. Les enfants obèses ont plus de risques de développer de souffrir de diabète de type 2, d’hypertension ou de troubles du sommeil. Ils ont aussi plus de risques de rester obèse à l’âge adulte.
La consommation accrue de produits gras et sucrés, de sodas, de confiserie et de produits raffinés ainsi que la consommation insuffisante de fruits et légumes, associées à des dépenses énergétiques insuffisantes (peu d’exercice physique, chauffage excessif des locaux) expliquent en grande partie le développement de l’obésité chez les enfants et les adultes.
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Importance des bonnes huiles
Les huiles, souvent mis au ban pour leur richesse calorique, sont indispensables dans l’assimilation des vitamines lipophiles et dans le maintien du bon fonctionnement de l’organisme. Elles sont, par exemple, essentielles pour la reconstitution des cellules, entourées d’une double membrane lipidique. Mais toutes les graisses ne se valent pas. En règle générale, les huiles raffinées ou cuites, deviennent inutilisables pour l’anabolisme. Le corps ne les éliminera pas pour autant et les stockera pour leur seule valeur énergétique.
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Variété de l'alimentation
Les personnes possédant un jardin pourront redécouvrir des variétés de fruits et légumes anciennes dont ils trouveront les graines chez des revendeurs spécialisés ou dans des bourses d’échange. Celles qui n’ont pas la chance de pouvoir cultiver leur propre potager pourront introduire de la variété dans leur alimentation et retrouver des légumes oubliés tels que potimarrons, topinambours, et autres pommes de terre anciennes régionales, achetés de préférence auprès de cultivateurs de leur région.
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Mauvaise alimentation
La consommation accrue de produits gras et sucrés, de sodas, de confiserie et de produits raffinés ainsi que la consommation insuffisante de fruits et légumes, associées à des dépenses énergétiques insuffisantes (peu d’exercice physique, chauffage excessif des locaux) expliquent en grande partie le développement de l’obésité chez les enfants et les adultes.
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Limiter sa consommation de sucre, de sel et de gras
Leur consommation en excès présente des risques pour la santé. Surpoids, maladies cardio-vasculaires, diabète, hypertension, hypercholestérolémie… sont favorisés par ces excès.
Pas question pour autant de se priver de tout et de renoncer aux plaisirs alimentaires. Mais savoir où se trouvent le sucre, le sel et le gras, c’est avoir la possibilité de bien manger en faisant des choix plus avisés.
Source/Copyright: INPES (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé)
Le bon rythme des repas
Les nutritionnistes recommandent de se caler sur 3 repas par jour :
- Petit-déjeuner
- Déjeuner
- Dîner
Le temps qu’on prend pour manger a aussi son importance. En effet, notre cerveau a besoin de temps pour recevoir des signaux de l’estomac lui permettant de comprendre que l’on est en train de manger. On dit qu’il lui faut environ 20 min pour nous faire ressentir que nous avons suffisamment mangé.
Prendre le temps de faire une vraie pause est aussi une façon de passer un moment convivial. Se réunir en famille ou entre amis, autour d’un repas, joue un rôle important dans l’appréciation de ce que l’on mange.
Source/Copyright: INPES (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé)
La composition des repas
Bien composer ses repas, c’est apprendre à manger des aliments de différentes familles, en favorisant certaines tout en limitant d’autres. Le tout en rythmant la prise en fonction des besoins de la journée. Voici quelques idées pour composer vos différents repas selon les bons repères de consommation…
Source/Copyright: INPES (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé)
Eplucher ou pas ?
Les fruits et légumes d’agriculture conventionnelle sont la plupart du temps contaminés en pesticides. Selon un rapport de la Commission européenne de 2007, 44 % des fruits et légumes commercialisés en Europe sont contaminés par des pesticides, à une valeur certes inférieure à la limite légale. Un lavage soigneux avec brossage s’impose pour éviter d’introduire ces substances dans son alimentation. Seuls les produits bio peuvent garantir l’absence de pesticides et il suffit de les brosser pour éliminer les éventuelles restes de terre. Cela permet de profiter ainsi de toutes les vitamines et des fibres qui se trouvent dans la peau des fruits et légumes, et de réduire la corvée d’épluchage.
Source/Copyright: DOLCETA site d’éducation en ligne à la consommation de la Commission européenne.
Future maman
La grossesse et le projet de grossesse sont des périodes particulières dans la vie d’une future maman : c’est le moment idéal pour revoir certaines de vos habitudes et comportements, afin d’assurer une bonne santé à votre futur bébé.
L’alimentation va jouer un rôle essentiel. Appétit, besoins majorés, aliments à éviter…
Source/Copyright: INPES (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé)
Enfants
Dès la naissance, manger est une des principales activités de l’enfant. De nombreuses questions se posent alors, pour être sûr de lui donner le meilleur et favoriser sa bonne croissance.
Tout au long de sa croissance, les étapes se succèdent : diversification, repas comme les grands, éducation alimentaire… et s’accompagnent de nouvelles interrogations.
Comment allaiter ? Quand et comment diversifier l’alimentation de votre enfant ?.
Source/Copyright: INPES (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé)
Adolescents
L’adolescence marque la fin de la croissance. Cette période très importante, et se caractérise par des besoins nutritionnels spécifiques.
C’est également une période de grands chamboulements dans la vie sociale des jeunes : rythme des repas, type de repas, activités extra-scolaires sportives, culturelles…
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50 ans et plus
Avec l’âge, l’organisme change et les besoins nutritionnels évoluent. Cela ne signifie pas qu’il faut manger moins ! Au contraire : certains besoins augmentent.
Une alimentation équilibrée et adaptée à ses besoins, accompagnée d’une activité physique quotidienne, permet de rester en forme et de prévenir les problèmes de santé liés à l’âge.
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